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Un album de quinze titres écrit par Marc Lavoine et mis en musique par Fabrice Aboulker, son compositeur historique. Le chanteur y interprète, avec Coeur de Pirate et Arthur H, un triangle amoureux pris au piège d'un ballet maudit. La production a été confiée à Francois Delabrière.

Somptueux recueil de dix chansons, allant des hymnes traditionnels aux chansons folk antimilitaristes, en revisitant des oeuvres figurant sur ses précédents enregistrements.

Formidable chanteuse de 25 ans, elle s'est révélée au grand public avec l'album Woman child en 2013. Ce second opus expose brillamment les contrastes entre l'amour et l'envie, le plaisir et le désir. Cécile a composé cinq chansons originales. Chaque composition ou reprise explore des thèmes sous-jacents de l'album et affiche la forte personnalité de Cécile, sa vive intelligence, son humour, sa lucidité et un romantisme absolu.

Auteur, compositeur, interprète, l'artiste se définit avant tout comme un mélodiste aimant naviguer entre les genres. A l'aise en studio, entre amis mais également sur scène, il a assuré les premières parties de Tal, Christophe Mae, Louane ou encore Kenji Girac. Ce premier album a été réalisé avec la crème des auteurs / compositeurs du moment : Yoann Malory et Tristan Salvati (Lilian Renaud, Louane,...).

L'artiste à la renommée internationale depuis ses différentes collaborations avec Peter Gabriel, Paul Simon, Manu Dibango ou encore Neneh Cherry, est une icône mondiale, reconnue autant pour avoir émancipé le mbalax que pour ses engagements caritatifs à travers le monde. Cet album, qu'il décrit lui-même comme "un voyage entre l'Afrique moderne et l'Afrique traditionnelle, une traversée des différentes cultures africaines", contiendra plusieurs duos avec Akon, Fally Ipupa et Spotless pour former l'unité des diasporas.

Le "petit orchestre" de Portland, Oregon, fondé par Thomas M. Lauderdale en 1994 qui réunit douze musiciens d'horizons bigarrés et dont le single Je ne veux pas travailler a fait le tour du monde sort, après quelques rétrospectives, un album aux mêmes accents internationaux, marque de fabrique du groupe depuis ses débuts. Le plus français des groupes américains célèbre à nouveau et avec amusement le flegme et l'espièglerie de notre très cher pays et on dit oui à ce joli garçon aux accents de rumba.

Savant mélange de sons surréalistes et psychédéliques, de dissonances et de rock, Head carrier est le septième album du groupe originaire de Boston. Avec lui, on retrouve le leader mystique et colérique Black Francis, David Lovering (batterie), Joey Santiago (guitare) et surtout Paz Lenchantin (basse et chant) qui a rejoint l'aventure en 2014 après le départ précipité de Kim Deal. Produire Head carrier a été une façon pour le groupe de tourner une nouvelle page, de marquer un vrai changement. Enregistré en seulement trois semaines, il possède les caractéristiques sonores d'un disque des Pixies au futur triomphant : riffs de guitare à foison, harmonies combinées à des martèlements rythmiques, paroles intrigantes.

En 40 ans de carrière musicale, John Scofield est l'un des guitaristes de jazz moderne les plus distinctifs et versatiles, sa capacité à jouer dans des configurations aussi bien fusion, funk, blues, bebop, country, drum'n'bass, avant-garde ou encore pop tout en gardant sa voix unique, est sans égal. En plus d'avoir dirigé de nombreux ensembles et d'avoir enregistré près de 40 albums, il a joué avec les plus grands du jazz parmi lesquels Charles Mingus, Miles Davis, Chet Baker, George Duke, Joe Henderson, Billy Cobham et Herbie Hancock, pour n'en citer que quelques-uns.

Ce douzième album studio est son premier album pop rock en 13 ans. Cette oeuvre illustre toute la richesse musicale de la palette de styles explorés par Sting au fil des années, de l'imaginaire féroce et aventurier du titre Petrol head au style plus folk et narratif de Pretty young soldier. Sur le premier single, I can't stop thinking about you, il montre une facette plus enlevée et dansante, témoignant de l'influence que sa musique continue d'exercer sur la pop actuelle.

Lou Tavano publie, à l'orée de la trentaine, son premier opus. Il est le fruit d'une collaboration déjà longue, avec le pianiste Alexey Asantcheeff, qui est à ses côtés à la ville comme à la scène. Il est l'auteur de la plupart des mélodies au répertoire de cet album, pour lesquelles il s'efforce, avec une minutie passionnée, de tisser les arrangements qui servent d'écrin au timbre profond et grave de la chanteuse. La musique est à l'image de ceux qui la font : elle peut éclater de rire puis verser une larme dans la même minute. C'est ce qui fait la force poignante de cet album, dans lequel l'anglais se mêle au français, au russe et même au balinais. Un album sans frontière, qui parle du monde et de soi, de l'autre et de nous.

Performances vocales sans concession, nappes new wave rêveuses, riffs de guitare ravageurs et percussions élégantes forment ici un ensemble détonnant.

Le groupe de Mike Scott continue de nous surprendre avec un onzième album éclectique et irrévérencieux.

Peu de pianistes ont pris le risque d'enregistrer à deux, et encore moins nombreux sont ceux qui ont décidé de composer la musique de cette rencontre. Au fil des répétitions, Laurent et Ray (ils se connaissent depuis 25 ans...) ont cherché puis trouvé le confort dans lequel ils pouvaient s'épanouir en toute confiance. Le résultat sont ces dix pièces dans lesquelles ils expriment leur joie de jouer ensemble, de danser constamment sans jamais se marcher sur les pieds, de tricoter des rythmes et des mélodies aux mille couleurs imprévues. Un véritable tour du monde qui ne se raconte qu'à Paris, où se rencontrent de façon si singulière les musiques des cinq continents.

Comptine d'éveil, jeu musical, Activité détente, relaxation, berceuse...