Cet album est le résultat final de la mutation de Bernard Fèvre en personnage mystérieux, mythique et éternel : les crédits sont attribués à Junior Claristidge (un autre pseudonyme de Fèvre), la pochette représente une diva noire démoniaque et le titre de l'album laisse planer le doute sur le(s) géniteur(s). Disco club est un chef d'oeuvre de six longues chansons phantasmo-psychédéliques, enregistrées avec un batteur dont les sessions ont été mises en boucles, ce qui donne au disque ce groove si particulier, très hypnotique. Un classique absolu de l'electro enfin réedité !