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Armé de sa trompette ôlittle Rice Duckö s’est taillé une belle réputation dans le Westwood. Ecumant les barsà Ambiances enfumées, Tequila Sunrise, Jazzà et transpirationsà Une seule ombre au tableau, c’était Bettyà Un putain de caractère trempé dans du champagne à plus de 50$ la bouteille ! ! ! Autant dire que ôLittle Riceö préfèrerait qu’elle reste au fraisà la bouteille aussi !

" What a personality ! " Voilà ce que dit Frank Sinatra de la jeune Line Renaud, phénomène que le Tout-Hollywood s'empresse d'aller applaudir à Las Vegas au début des années 1960. C'est en effet une personnalité hors du commun qui livre ici ses mémoires. Il en faut du talent, de l'énergie, de la générosité à la petite chanteuse de Pont-de-Nieppe pour monter et se faire acclamer sur les plus grandes scènes du monde, du Moulin-Rouge au Dunes à Las Vegas. Il en faut, de la personnalité, pour fréquenter et se faire aimer des plus grands : Joséphine Baker, Dean Martin, Gregory Peck, Cary Grant, Elvis Presley, Sugar Ray Robinson, Liz Taylor, sans oublier Charles Trenet, Dalida, Johnny Hallyday ou Jacques Chirac. Dans ce témoignage exceptionnel, Line Renaud ouvre son c?ur comme jamais auparavant. La lignée de femmes aux caractères bien trempés dont elle descend, les chances qu'elle a su saisir, ses remises en cause et ses tournants de carrière sont confiés avec la franchise et la verve qu'on lui connaît. Ces mémoires fourmillent d'anecdotes, de confidences inattendues, de secrets bien gardés. Line Renaud nous en dit long par exemple sur ses (mauvaises) relations avec Édith Piaf, sur Loulou Gasté et leur vie amoureuse bien plus mouvementée qu'il n'y paraît... Chanteuse, meneuse de revue, comédienne, Line Renaud a connu une carrière et une vie personnelle aussi dense que trépidante. Ce livre est à son image, une traversée du siècle en bolide rutilant.

Mon père était gardien de phare et nous vivions au rythme paisible de l’allumage et de l’extinction du feu, dans le cadre sauvage de la pointe des Baleines. Nous étions originaires des Portes, le village voisin de Saint-Clément, où j’étais né au premier étage d’une maison blanchie à la chaux. »

Entre la pêche aux couteaux et les parties de cache-cache dans les tamarins, les enfants du phare, Damien, Élise et Amélie menés par Rémi, entreprennent de sauver les oiseaux migrateurs qui viennent chaque saison périr en se fracassant sur le phare. Une très belle histoire d'amitié et de solidarité bercée par l'ambiance unique de l'île.

Professeur émérite de langues, littérature et civilisation scandinaves à l'université de Caen, Jean Renaud contribue à faire connaître la littérature scandinave en France par ses traductions. Il est par ailleurs auteur d'un livre sur le patois rétais. Fils de gardien de phare, cette histoire aurait pu être la sienne...

Savant mélange entre évocation du contexte historique et archéologie expérimentale, l'ouvrage retrace avec précision et détails l'évolution des machines de guerre au Moyen Age, des balbutiements aux plus importantes innovations techniques.
Les illustrations, enluminures d'époque et reconstitutions de l'auteur établissent l'accord entre le témoignage historique et ce que l'on peut désormais savoir d'après les trouvailles archéologiques.

Ce livre est la première synthèse illustrée sur la guerre de Cent Ans. Cette guerre, qui couvre une période de cent seize ans (de 1337 à 1453), voit s’affronter sur le sol français deux dynasties, les Plantagenêts (qui possédaient le royaume d’Angleterre et la moitié de la France actuelle) et la Maison capétienne de Valois.Cet épisode sans précédent dans l’histoire de France est marqué par de nombreux conflits, entrecoupés de trêves plus ou moins longues, ponctué de batailles célèbres comme Poitiers, Crécy ou encore la terrible défaite d’Azincourt, et habitée par des personnages de légende : Jeanne d’Arc, Du Guesclin.La guerre de Cent Ans se termine officiellement avec la signature du traité de Picquigny par Louis XI de France et Édouard IV d'Angleterre en 1475.C’est cette histoire passionnante et pleine de rebondissements que nous raconte Olivier Renaudeau.